Manger tard induit une intolérance nocturne au glucose et réduit l’oxydation et la mobilisation des acides gras, en particulier chez ceux qui dorment tôt. C’est ce que révèle une nouvelle – et petite – étude parue dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism.
La...
Vous souhaitez continuer à lire cet article ?
L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.
Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.