L’administration de testostérone chez les transgenres en transition de femme en homme comporte-t-elle un risque cardiométabolique?
L’idée n’est probablement pas à rejeter, mais il semble que la sévérité du trouble joue un rôle.
Une étude de cohorte observationnelle suggère qu’un traitement substitutif prolongé est associé à une diminution du risque de décès, d’événements cardiovasculaires… et de cancer de la prostate.
VCP Vol. 30 N° 1
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