Une analyse post-hoc de l’étude FIELD indique que le fénofibrate diminue de moitié le risque de crises de goutte chez les diabétiques de type 2.
Le risque cardiovasculaire étant accru chez les patients souffrant de goutte, il est légitime de sélectionner pour le traitement de fond les hypo-uricémiants ayant le meilleur profil cardiovasculaire, tout particulièrement chez les patients ayant déjà une atteinte cardiovasculaire.
La goutte est un facteur de risque indépendant d’infarctus du myocarde. Ce risque accru d’infarctus existe même chez des personnes jeunes ou sans facteurs de risque cardiovasculaire.
VCP Vol. 30 N° 1
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