Avec la formation continue pour principe de base, l’ICACT, présidé par David Khayat (Paris) et Gabriel Hortobagyi (Houston), avait focalisé sa session présidentielle sur la génomique. Une décision logique, car les évolutions des outils technologiques ont permis d’aborder le cancer de manière différente et d’accélérer les recherches en génétique et en génomique. Ainsi, de nouveaux facteurs de risque de cancer et les processus amenant à la transformation maligne sont de mieux en mieux identifiés grâce à l’apport de la génomique. Elle permet aussi d’améliorer le diagnostic, le pronostic ou la réponse aux traitements et d’intégrer davantage le traitement du cancer dans une approche individualisée et non plus globale.